« Je souhaite que ce centre puisse gagner aussi bien en efficacité qu’en visibilité. Qu’il puisse aussi mettre son expertise au service de défis majeurs pour relancer l’emploi en Europe, notamment la mobilité professionnelle, la reconnaissance des qualifications ou encore le développement des compétences numériques », a expliqué Anne Sander.
« Cette agence décentralisée, participera, avec ses homologues européens travaillant sur les sujets sociaux, à la mise en œuvre de l’agenda européen pour l’acquisition de nouvelles compétences », a conclu l’eurodéputée.