C’est ainsi que les importations sont passées de 3.700 tonnes en 2018 à 55.000 en 2018. Les éleveurs européens de volailles ont payé le prix fort de la naïveté européenne, alors même que ce secteur est déjà sous pression.
Avec mes collègues de la commission de l’Agriculture du Parlement européen, nous avons donné notre assentiment à la Commission européenne pour qu’aboutisse un nouvel accord afin d’intégrer cette nouvelle coupe dans le contingent tarifaire et ainsi mettre fin à une situation hors de contrôle. Malheureusement, je déplore que ce nouvel accord ait été signé au détriment d’une augmentation du volume des importations.