J’y insiste, une fois de plus, sur la nécessité d’une étude d’impact des objectifs proposés par la Commission européenne. En effet, ces derniers ne doivent pas être irréalistes, au risque d’entraîner une baisse de la productivité agricole, et avec elle, une hausse des prix pour le consommateur ainsi qu’un besoin accru d’importer des denrées alimentaires en provenance de pays tiers.
Favorable à une alimentation équilibrée, au travers de mes amendements, j’attire tout de même l’attention sur la stigmatisation de certains produits et invite à ne pas suivre un certain dogmatisme visant à ne plus manger de sel, de sucre ou de graisses.