Cette nouvelle crise sanitaire, faute de vaccin ou de traitement existant, a des répercussions sociales et économiques importantes, notamment pour nos agriculteurs. En commission de l’Agriculture du Parlement européen, j’interrogeais la Commission européenne quant à l’efficacité des moyens déployés pour protéger nos éleveurs français face à cette épidémie, et plus particulièrement dans l’Est de la France, où la surpopulation des sangliers pourrait être un facteur aggravant. Je lui demandais également des précisions quant à la nouvelle règlementation qui entrera en vigueur dès 2021 et aux avancées concrètes qu’elle permettra dans la gestion des crises comme celle de la Peste porcine africaine.