Ces derniers, déjà fortement touchés par la crise, sont particulièrement inquiets quant à l’ouverture du marché européen à des produits proposés à coûts plus faibles par la Nouvelle-Zélande. À cela s’ajoute les nouvelles stratégies «Biodiversité» et «De la Ferme à la Fourchette» mais aussi l’incertitude autour de la future relation entre l’Union européenne et le Royaume-Uni. Nous appelons la Commission européenne à la plus grande vigilance au sujet de cet accord ommercial et demandons à ce que ces secteurs agricoles ne soient pas une variable d’ajustement dans les négociations.