Cette nouvelle façon de travailler représente des avantages certains pour les travailleurs et les employeurs : gain de temps, diminution de rejets de CO2 liés aux transports, etc. Il a également permis un meilleur équilibre entre vie professionnelle et vie privée, qui doit toutefois être contrebalancé par le droit à la déconnexion. Déjà prévu en France, ce droit a fait l’objet d’un débat au sein de la commission de l’Emploi et des Affaires sociales du Parlement européen le 7 septembre. Je suis intervenue pour demander qu’une réflexion soit menée pour améliorer la protection et le bien être des travailleurs, sans pour autant se traduire par un fardeau administratif supplémentaire pour les entreprises, déjà mises en difficulté par les récents évènements.