Alors que l’on nous garantissait une compensation des pertes à prévoir dans les filières de la viande bovine, du sucre, de la volaille ou de l’éthanol par des avantages dans d’autres secteurs comme le vin ou les indications géographiques et appellations d’origine, aujourd’hui des critiques émergent quant à ces prévisions. A l’occasion de l’audition de la Commission européenne par le Parlement européen, j’attirais l’attention de cette dernière sur les dangers de cet accord. Pour ma part, cet accord n’est pas équilibré, et tout particulièrement pour notre agriculture.