Après un premier plan de 37 milliards d’euros débloqués pour alimenter les Fonds structurels et d’investissement européens (FESI), il était nécessaire de compléter ces moyens budgétaires par plus de flexibilité dans leur gestion. C’est pourquoi, j’ai voté, le 17 avril en session plénière du Parlement européen, POUR la possibilité d’un cofinancement à 100%, un allègement des contraintes procédurales ou encore la mise à disposition de fonds du FEDER pour le soutien aux entreprises en difficulté.