De par son statut d’espèce protégée, elle s’est nettement développée aussi bien en termes de nombre d’individus qu’en termes d’espace géographique. Notre devoir, outre le fait de préserver l’environnement et les espèces menacées, est d’accompagner les agriculteurs qui souffrent de cette situation. Dans le cadre de l’audition organisée par la commission de l’Agriculture au Parlement européen, je demandais à ce que, à côté des mesures existantes de prévention et d’indemnisations, de nouveaux outils d’accompagnement soient proposés aux agriculteurs, afin de limiter le plus possible l’impact du loup sur leurs activités.