Je demande surtout, qu’en urgence, une aide soit apportée aux entreprises alsaciennes, dont l’activité dépend entièrement de nos travaux, et qui, depuis mars, sont sans ressources. Elles assurent avec grande fidélité le fonctionnement des sessions plénières et se tiennent prêtes à nous accueillir. Aujourd’hui, elles ne peuvent plus tenir.